Description

Vous êtes sur la piste d’un immonde complot de ses complices et de ses coupables ! Remportez l’adhésion du Grand architecte et de vos condisciples grâce à vos associations d’idées drôles et diaboliques !

Dans le jeu Crazy Theory, vous allez noter une suite de mots, reliant complots, complices et coupables et dévoiler votre théorie avec assurance pour convaincre les autres !

Au début de Crazy Theory, une carte est glissée secrètement – côté llluminati ou Reptiliens – dans un étui situé au centre du jeu. Tour à tour, chacun est le Grand Architecte et pose autour de l’étui : – 1 complot (ex : les gommes au bout des crayons à papier ne servent jamais à rien ! ), – 2 complices (Cléopâtre et un robot-mixeur), – 2 coupables (les sados-masos ou les végétariens).
Avec papier/stylo, chacun note sa suite de mots qui part d’un mot-clé du complot, et passe – par association d’idées – par les deux complices pour nir sur l’un des deux coupables.
Puis, chacun expose son complot en prononçant et répétant juste ses mots. Ex : « gomme > papier ; papier > mouchoir ; mouchoir > nez ; nez > Cléopâtre; Cléopâtre > César; César > salade; salade > carottes râpées; carottes râpées > robot-mixeur; robot-mixeur > lames; lames > douleur; douleur > sados-masos. »

Les joueurs reçoivent des jetons s’ils ont le même coupable que le Grand Architecte et en cas de coup de coeur d’un pair. En n de partie, chacun tourne ses jetons côté Illuminati ou Reptiliens et la carte de l’étui révèle qui a bien misé !

Ce jeu est inspiré de la BD Zaï Zaï Zaï Zaï, fais éclater la vérité ! Dans l’oeuvre de Fabcaro, un mec au bar explique – avec une suite de mots – pourquoi le héros a commis l’offense suprême d’oublier sa carte de fidélité au supermarché… Il dit « Fidélité – Adultère – Terre – Râteau – Torah – Juifs » et voilà, CQFD !
Dans ce même esprit second degré, Crazy Theory propose 60 complots à démonter, 120 complices à impliquer et 59 coupables à démasquer… Remporte l’adhésion de tes adversaires avec des associations d’idées aussi évidentes qu’improbables !